Eliott est le fantôme du longboard nantais. Lorsqu'il est là, une rumeur semble traverser la ville : même si personne ne l'a vu en chair et en os, son aura et son charisme s'autodiffusant à des kilomètres à la ronde suffisent à rendre folles les femmes, qui se pâment à l'idée de rencontrer celui qu'on appelle aussi "Anaconda". Et déjà, les cônes de slalom se rassurent : s'il vient, Eliott ne leur bottera pas les fesses comme certains riders nantais en ont l'habitude...
Slide, slalom, descente... Eliott est doué. Mais il n'en a rien à foutre. C'est un peu le Mark Occhiluppo du longboard nantais. Oui, je sais, j'exagère. Disons plutôt qu'il est à notre communauté ce que Clémentine Autain est à la gauche antilbérale : quand il n'est pas là, on ne s'en rend pas forcément compte, mais quand il est là, le débat s'élève de plusieurs crans.
Slide, slalom, descente... Eliott est doué. Mais il n'en a rien à foutre. C'est un peu le Mark Occhiluppo du longboard nantais. Oui, je sais, j'exagère. Disons plutôt qu'il est à notre communauté ce que Clémentine Autain est à la gauche antilbérale : quand il n'est pas là, on ne s'en rend pas forcément compte, mais quand il est là, le débat s'élève de plusieurs crans.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire