mercredi 2 juillet 2008

Eliott



Eliott est le fantôme du longboard nantais. Lorsqu'il est là, une rumeur semble traverser la ville : même si personne ne l'a vu en chair et en os, son aura et son charisme s'autodiffusant à des kilomètres à la ronde suffisent à rendre folles les femmes, qui se pâment à l'idée de rencontrer celui qu'on appelle aussi "Anaconda". Et déjà, les cônes de slalom se rassurent : s'il vient, Eliott ne leur bottera pas les fesses comme certains riders nantais en ont l'habitude...
Slide, slalom, descente... Eliott est doué. Mais il n'en a rien à foutre. C'est un peu le Mark Occhiluppo du longboard nantais. Oui, je sais, j'exagère. Disons plutôt qu'il est à notre communauté ce que Clémentine Autain est à la gauche antilbérale : quand il n'est pas là, on ne s'en rend pas forcément compte, mais quand il est là, le débat s'élève de plusieurs crans.

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